III. La protection de notre vie privée et ses dérives
Une évolution et une révolution sont à constater, mais il y a tout de même une protection de notre intimité.
« La rapidité, voire l’instantanéité, la prolifération, la diversité et souvent la gratuité facilitent les échanges érotiques »
On va utiliser la règle des trois A « abordable, anonyme, accessible », par peur du porn revenge, et la plupart du temps cette pratique est féminine.
« Les conséquences du cyberharcèlement, arme de destruction de l’autre extrêmement efficace, sont mal perçues par les adolescent-e-s qui s’y adonnent. Libérant l’individu du consentement de l’autre, fondement de la liberté sexuelle, la tentation d’une sexualité virtuelle, sans altérité charnelle et sans limites, se fait jour, agitant l’épouvantail de la déshumanisation de la sexualité. »
Ici, nous allons aussi questionner sur la question de l’infidélité. Puisque le virtuel entraîne nous fait penser que la tromperie n’est pas réelle, donc pas valable.
Puis, la pratique du digisexe donne lieu à des fonctionnalités : Notamment avec snap, l’émetteur du nude va pouvoir choisir le temps de visionnage de la photo qu’il envoie.